ENiM 6, 2013, p. 243-256.
La combinaison des deux signes « houe » et « forteresse » rencontrée sur quelques rares documents, et en particulier sur la palette « du tribut libyen », est généralement entendue comme représentant un acte de destruction. Toutefois, un certain nombre de chercheurs se sont attachés depuis quelques décennies à mettre en défaut cette interprétation. Selon eux, il ne fait aucun doute qu’il s’agisse d’un acte de fondation. Cet article analyse les arguments avancés par ces derniers et tente de faire le point sur la question.
The association of the two signs hoe and fortress found in a few documents, and in particular on the Libyan palette, is generally understood as an act of destruction. However, in the last decades some scholars endeavored to show the wrong of this interpretation. According to them, we deal undoubtedly with a foundation ceremony. This article analyzes the advanced arguments and tries to review the question.
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18 article(s) - 29 octobre 2024.
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Jean-Claude Grenier L'Osiris ANTINOOS, CENiM 1, Montpellier, 2008 — (26 décembre 2008)