ENiM 7, 2014, p. 277-286.
L’article présente le texte hiéroglyphique, les traductions et commentaires relatifs aux inscriptions de deux statuettes du dieu Thot conservées aujourd’hui au Musée Pouchkine de Moscou (nos. I.1.a 5702 et I.1.a 5703). Le premier objet est attribué à la Basse époque, l’autre, à la fin de la XXe dynastie.
The article deals with the study of two figurines of Thoth kept in the Pushkin Museum of Fine Arts, Moscow (Inv. I.1.a 5702 and I.1.a 5703) and presents the hieroglyphic text, translation and textual comments on the inscriptions. The first artifact is dated to the Late period, the other to the end of the 20th dynasty.
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ENiM 8, 2015, p. 113-132.
Les Anciens Égyptiens ont développé des procédés originaux et simples pour résoudre de nombreux problèmes mathématiques. Mais pour le comprendre, il faut se détacher de l’approche algébrique moderne. Nous rappelons d’abord qu’ils connaissaient la méthode de la fausse position. Cela ressort non seulement de quatre problèmes du papyrus Rhind, mais aussi de deux problèmes plus anciens contenus dans le papyrus 6619 de Berlin (nous proposons pour l’un d’eux un nouvel énoncé). Et nous montrons ensuite, à travers quatre problèmes – deux du papyrus de Moscou et deux du papyrus Rhind – que ce procédé s’inscrivait dans un processus heuristique beaucoup plus large.
The ancient Egyptians developed original and simple methods to solve many mathematical problems. But to understand this, one must be careful not to project our own algebra system backwards in time. First, we point out that they knew the false position method, as is demonstrated not only by four problems in the Rhind papyrus, but also by two more ancient problems from papyrus Berlin 6619 (we propose a new wording for one of them). Second, we highlight by means of four problems – two from the Moscow papyrus and two from the Rhind papyrus – that this method was part of a much larger heuristic process.
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ENiM 12, 2019, p. 233-246.
Le papyrus Rhind place les pyramides au centre de quelques problèmes en lien avec des calculs de seqed et de hauteur. Deux autres énoncés, les problèmes pRhind no 60 et pMoscou no 14, ont été maintes fois mis en parallèle avec ces derniers et commentés en raison des difficultés d’interprétation qu’ils suscitent. La terminologie employée, le contexte des exercices, mais aussi l’état de l’archéologie peuvent permettre d’identifier les constructions décrites. L’architecture autorise également quelques comparaisons significatives qui amènent à nous interroger sur l’une des sources d’inspiration des papyri mathématiques du Moyen Empire.
The Rhind mathematical papyrus incorporates a small group of problems focusing on pyramids and demonstrating how to calculate their seked side slopes and heights. Two other problems, pRhind 60 and pMoscow 14, have been discussed extensively in conjunction with the former problems due to the interpretive challenges they pose. The terminology they use and the context of the exercises mean that archaeology and philology can potentially provide information aiding understanding of the buildings described. Architecture uncovered in excavations may represent structures that inspired the problems outlined in the Middle Kingdom mathematical papyri, and the different classes of evidence are compared here.
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18 article(s) - 29 octobre 2024.
Jean-Claude Grenier L'Osiris ANTINOOS, CENiM 1, Montpellier, 2008 — (26 dĂ©cembre 2008)
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Équipe Égypte Nilotique et Méditerranéenne - UMR 5140 - « Archéologie des Sociétés Méditerranéennes » (Cnrs) - Université Paul Valéry - Montpellier III